Les films Chloro d'avril 2015
qu’un véritable ami, Yonatan, un garçon atteint d’une maladie héréditaire. .....
Le réalisateur des « Citronniers » signe un film doux-amer pointant la discrimination perpétuelle des Arabes israéliens. Une histoire cruelle .... aVoir-aLire.com
Dans le cadre cycle du patrimoine "les chimères " avec Cinéphare
Drame romance USA 1950 1h50 N/B
Norma Desmond, grande actrice du muet, vit recluse dans sa luxueuse villa de Berverly Hills en compagnie de Max von Meyerling, son majordome qui fut aussi son metteur en scène et mari. Joe Gillis, un scénariste sans le sou, pénètre par hasard dans la propriété et Norma lui propose de travailler au scénario du film qui marquera son retour à l'écran, Salomé. Joe accepte, s'installe chez elle, à la fois fasciné et effrayé par ses extravagances et son délire, et devient bientôt son amant. .....
Le réalisateur Billy Wilder est né en 1906 en Autriche. En 1933, suite à l’arrivée au pouvoir d’Hitler, il s’exile aux Etats-Unis après un rapide passage en France. Sa carrière sera récompensée par 6 oscars.
Après avoir mis en scène vingt-six longs métrages dont « Certains l’aiment chaud » , « la garçonnière », et rédigé plus de soixante-dix scénarios, Billy Wilder prend sa retraite en 1981, à 75 ans. Il décède en 2002 à l’âge de 95 ans.
Les critiques : Ce film nous saisit et nous entraîne au-delà du film, au-delà des films. Les cahiers du cinéma
"Sunset Boulevard", soit le plus extraordinaire jeu de reflets qu'il ait plus au cinéma d'inventer. Le nouvel observateur
Jude est Américain, Mina Italienne. Ils se rencontrent à New York, tombent fous amoureux et se marient. Lorsque Mina tombe enceinte, une nouvelle vie s’offre à eux. Mais l’arrivée du bébé bouleverse leur relation. Mina, persuadée que son enfant est unique, le protège de façon obsessionnelle du monde extérieur. Jude, par amour, respecte sa position jusqu’à ce qu’il comprenne que Mina commence à perdre contact avec la réalité.
La critique : "Hungry Hearts" crée ainsi une atmosphère étouffante qui fait penser au "Rosemary's Baby" de Polanski. Le Parisien
Récit impressionniste, judicieusement fondé sur la force des sensations et l'interprétation impeccable de ses acteurs. Les Fiches du Cinéma
Une histoire d'amour pas anodine du tout, aux antipodes de la séduction et des conventions romantiques ayant un potentiel quasiment kafkaïen.La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Quand Victor, 13 ans, pousse la porte de l'opéra de Montpellier, il ne connaît rien à la musique. Il ne connaît pas non plus son père venu diriger la 6ème symphonie de Mahler. Le jour où Nadia, sa mère, lui annonce qu’ils doivent quitter leur maison sur la plage, Victor s’inquiète. Pour sa mère, dont il sent qu’elle lui cache quelque chose, mais aussi pour sa relation naissante avec Luna, la voisine espagnole. Victor décide alors de se montrer pour la première fois à son père...
La critique: C'est une confirmation. Après la réussite d'Angèle et Tony, ( programmé par Chlorofilm en en 2011) , Alix Delaporte prouve qu'elle a une voix à faire entendre dans le cinéma français. Positif
Mention spéciale grand prix du jury Festival Premiers Plans 2015
« En juin 1941, sur ordre de Staline, les familles estoniennes sont chassées de leurs foyers. Une jeune mère, Erna, est envoyée elle aussi en Sibérie avec sa fille, loin de son époux. Durant quinze années, elle ne cesse d'écrire à son mari pour lui raconter leurs vies ponctuées de doutes, de peurs, de misère et de solitude, tout en caressant l'espoir de pouvoir un jour le retrouver... »
Le réalisateur : Martti Helde : né en 1987 à Tallin en Estonie, Martti Helde jeune réalisateur et scénariste présente avec CROSSWIND son 1er film..
La critique : « Martti Helde a choisi un dispositif unique en son genre : dans toutes les scènes cruelles qui prolongent la vie heureuse en famille, il a filmé des acteurs figés dans le temps et l’espace. La caméra serpente à travers ces tableaux vivants pour capter un cri étouffé, un baiser, des mains qui se disjoignent… En découle un effet de sidération que la répétition du procédé entame à peine. »
« La caméra virevolte à 360°, au cœur des scènes, tout en cherchant à illustrer cette impression du temps figé. Concentrée sur l'image et les textes lus (par une voix incroyable), nous avons rarement assistée à une écriture cinématographique aussi originale, et tout simplement superbe, où l'image fait penser à d'autres arts comme la sculpture, la peinture ou la photographie. »
Lundi 4 mai 20h30 :
fondations de nos sociétés. Et si le prix à payer était la mort des démocraties ?
La critique : Le film d'Harold Crooks, à la fois pétillant et alarmant, aligne les paroles d'experts, parfaitement à même de dénoncer la toute-puissance de cette forme d'Olympe extra-territorialisé, géré en toute quiétude par des places financières telles que New York ou la City de Londres. Sud Ouest
Ce documentaire choc sur la face cachée de la mondialisation démonte le système d'évasion fiscale pratiqué à grande échelle par les multinationales. La Croix
Un documentaire calme et effarant du Canadien Harold Crooks, "Le prix à payer". (...) Fascinant. Marianne
Harold Crooks (...) contribue avec ce nouveau film, où la rigueur de la démonstration n'a d'égale que l'indignation qui la motive, à éclairer les tenants et les aboutissants d'un espace financier déréglé. Positif
Modeste fonctionnaire dans une banlieue de Londres, John May se passionne pour son travail. Quand une personne décède sans famille connue, c’est à lui de retrouver des proches. Malgré sa bonne volonté, il est toujours seul aux funérailles, à rédiger méticuleusement les éloges des disparus… Jusqu'au jour où atterrit sur son bureau un dossier qui va bouleverser sa vie : celui de Billy Stoke, son propre voisin.
Le réalisateur : Uberto Pasolini a commencé sa carrière en tant que banquier d'investissement. Il débute au cinéma comme stagiaire dans La déchirure (1984), de Roland Joffé , tourné en Thailande.Il devient producteur indépendant en 1994 et son 1er succès est le film The Full Monty (1997) qui rapporte plus de 250 millions de recettes ...Uberto Pasolini est aussi réalisateur, scénariste et producteur d'Une Belle Fin, son second long-métrage après Sri Lanka Handball Team (2007) primé dans de nombreux festivals dont Venise, Palm Beach et Bruxelles.
La critique : « Film fort et émouvant mais qui au fond est un hymne à la vie » Sens critique.
« Histoire bouleversante et qui nous propose une fin lumineuse » Les écrans de Claire.
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