la vie de Chlorofilm

la vie de Chlorofilm

18ème Festival Clap les mômes : mardi 14 février 10h30; mercredi 15 à 14h; Vendredi 17 à 14h . Tout le programme .

 

Festival  Clap  les  Mômes 2012 ;

 tarif  unique : 2,90€.

 

Mardi  14  février 10h30 

Ciné-conte avec Edwige  Bage

  

 Monsieur Boris et le dragon 
Spectacle pour 4-6 ans (durée 45 minutes)

 Ecriture et jeu : Edwige Bage

Mise en scène : Anne Barbot 

Métro, boulot, dodo. C’est la vie de Monsieur Boris. Il vit dans un monde souterrain. Les seules lumières qu’il connaisse sont celles de son frigo, des néons du métro lorsqu’il va travailler, des lampadaires qui illuminent jour et nuit sa ville souterraine. Un matin, à travers une brèche dans le mur de sa ville, Monsieur Boris aperçoit un rayon de soleil. Une lumière chaude et vive, comme il n’en a jamais vue. On dirait de l’or.

 

Courts métrages :
* La routine, de Cédric Babouche / Film d’animation français, 2003, 5 mn

* Le trop petit prince, de Zoïa Trofimova / Film d’animation français, 2001, 7 mn

 

 

Mercredi 15  février  14h

Ciné-conte avec Edwige Bage

  
Le taureau et l’oiseau

 

Spectacle pour 7-11 ans (durée 55 minutes)

Ecriture et jeu : Edwige Bage

Mise en scène : Anne Barbot

 

Un prince capricieux désire un oiseau d’une grande beauté. Plusieurs obstacles protègent l’oiseau. Le premier : l’invincible taureau du puit aux fous. Il est le seul à connaître le chemin qui mène à la merveille ailée. Mais celui qui s’en approche doit mener un combat éreintant qui le rendra fou. Le prince, qui ne veut pas perdre sa couronne en perdant la tête, envoie son petit valet affronter le molosse à sa place. Le combat donnera des ailes au garçon.

 

Courts métrages :

*Histoire tragique avec fin heureuse, de Regina Pessoa / Film d’animation français, 2005, 7,46 mn

*Toro de nuit, de Philippe Archer / Film d’animation français, 1996, 6 mn

*Paroles en l’air, de Sylvain Vincendeau / Film d’animation français, 1995, 7,40 mn

 

Edwige Bage, comédienne et conteuse

Originaire de Montréal, j’ai pratiqué la danse, le clown, l’absurde, le théâtre gestuel, avant de découvrir le conte, en 1997, à la Maison du conte de Namur, en Belgique. De retour à Montréal, j’intègre le collectif des conteurs du Sergent Recruteur, laboratoire de récits oraux qui organise, chaque dimanche, des soirées de conte. J’y présente les ébauches de ce qui deviendra mon premier spectacle solo : La femme aux entrailles rieuses.
Suit une rencontre avec le collectif des Passeurs de conte de Bordeaux, de folles randonnées contées, une tournée au Sénégal, de nouveaux spectacles. Au fil des créations, le travail du corps m’apparaît essentiel. Je veux que le geste se fasse le relais de la parole, qu’il raconte à lui seul certaines parties de l’histoire.

En 2003, j’entame une formation de deux ans à l’école de théâtre Jacques-Lecoq, à Paris. Je renoue avec le théâtre . Je travaille actuellement à la création d'un spectacle de théâtre d'objet pour les tout petits avec la compagnie Narcisse Théâtre.

 Site internet : www.edwigebage.com  

 


Qu’est ce que le Ciné-conte ?

 « Le ciné-conte mêle grand écran et spectacle vivant. Il s’agit d’un jeu de ping-pong entre courts métrages et contes. A l’origine, plusieurs courts métrages ont été choisis. Leurs esthétiques se rejoignent, leurs thématiques aussi, mais chacun a sa propre histoire. Histoire souvent ouverte, qui laisse place à toutes sortes de suites possibles. Je profite donc de cette brèche pour me faufiler dans le récit. J’imagine de nouveaux rebondissements à partir de structures de contes traditionnels. Petit à petit, comme un puzzle, contes et courts métrages ne forment plus qu’une seule histoire, tantôt racontée en images, tantôt en paroles.

 

Tous les courts métrages du spectacle sont des films d’animation. . Les films choisis ont été créés par différents réalisateurs,  avec des procédés variés, et me permettent, lors de l’écriture, de créer des rebondissements dans l’histoire. Par ailleurs, même si l’esthétique change d’un film à l’autre, je suis toujours très étonnée de voir que les enfants ont suivi toute l’histoire grâce à la narration du conte. Certains personnages n’ont pas le même physique d’un film à l’autre et pourtant le public y croit. D’autre part, le fait de mêler le film et le spectacle vivant, permet aux enfants de passer dans un même spectacle d’une forme d’écoute à une autre. L’attention n’est pas la même devant un grand écran avec un film qui se déroule quoiqu’il arrive,  que devant une comédienne.

Chaque forme a ses vertus, la relation au public change et le mélange des genres en fait une expérience nouvelle ».                                                      

Edwige Bage.

 

 

 

Vendredi  17  février 14h

 

La  colline aux  coquelicots

 

de  Goro Miyazaki , animation

Japon 2011, 1h34 .

A  partir  de  6  ans

La  critique :

 Une merveille de film d'animation qui allie finesse du dessin, rythme et subtilité des nuances de couleurs. Outre la beauté fulgurante des paysages (...), le talent de Miyazaki réside dans la subtilité des moindres détails....

 

En s'adressant aussi  à un public adolescent, Goro Miyazaki tente de se démarquer de son célèbre père Hayao Miyazaki, avec cette histoire  émouvante  (...). Mission  réussie. 

 

La  colline  aux  coquelicots  enchante par sa simplicité et sa richesse graphique.

 Bienvenue au Festival  Cinéma  Jeune  public

 

 

 

 

 

 

 

 



12/02/2012
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