Les films de juin 2014
Mardi 3 juin 20h30 : en présence du réalisateur Emmanuel Audrain et Simone de Bollardière :
RETOUR EN ALGERIE ! En partenariat avec Cinéphare.
Le réalisateur lorientais Emmanuel Audrain, est, entre autre auteur du film Le testament de Tibhirine, présenté à Chlorofilm en 2006.
Retour en Algérie est dédié aux anciens combattants d'Afrique du Nord qui ont vécu cette période douloureuse entre 1954 et 1962. « Ils avaient 20 ans. C'est une génération qui a beaucoup souffert. On ne les a pas écoutés. Il y avait comme une chape de silence posée sur ce qu'ils ont vécu. Mille fois ils se sont posé la même question : pourquoi ? Pourquoi nos copains sont-ils morts là-bas. Pourquoi avons-nous été nous battre ? Pourquoi avons-nous fait ça ? »
Emmanuel Audrain n'a aucune attache avec cette guerre qui a laissé tant de traces des deux côtés de la Méditerranée. C'est la Guidelloise Simone de Bollardière, épouse du général Jacques Pâris de Bollardière, seul officier supérieur à avoir dénoncé la torture pendant la guerre d'Algérie, décédé voici 28 ans à Guidel (56), qui lui fera rencontrer d'anciens combattants regroupés au sein de l'association 4ACG . Ci-dessous photos d'Emmanuel Audrain, Simone de Bollardière et l'un des témoins du film.
La caméra de Wang Bing observe et accompagne durant plusieurs mois leur vie quotidienne....
Chez Wang Bing, il ne s'agit pas d'une enfance gâchée, mais de la cassure de l'enfance même. Derrière la réalité de l'enfance anéantie se dessine le chagrin enfoui de l'abandon. Cinéma pur. Positif
Dépaysement absolu. Impression de basculer dans un autre siècle, d'être loin de tout. Voici une Chine inconnue, la province reculée du Yunnan, à 3 200 mètres d'altitude. [...] la vie ne cesse de circuler. Au-delà du caractère aberrant de certaines situations, c'est bien un sentiment d'énergie qui domine.La critique complète est disponible sur le site Télérama
Vendredi 13 à 18h ; lundi 16 et mardi 17 juin :
Vendredi 20 à 18h et lundi 23 juin 20h30 Chlorofilm fête la musique avec
Mardi 24 juin 20h30
Prix du Public à l’Absurde Séance à Nantes ; Méliès d’Or au festival du film fantastique de Sitges
Elisabeth met sa foi au service des autres en animant sur « Radio espoir chrétien ». A la demande du diocèse, elle accueille chez elle le Père Achille qui fera dorénavant partie de la famille. Son mari meurt d’un accident de chasse lors d’un exercice d’entrainement d’un genre assez particulier et elle découvre que son fils de 14 ans est victime du Père Achille. Confrontée au silence et au déni de l’Eglise, elle perd tout sens de la charité chrétienne. …
La critique : Vincent Lannoo, réalisateur bruxellois, ne recule pas, et traite le sujet de front. Servi par une actrice inspirée, Astrid Whettnall, le film va à l’essentiel. C’est du cinéma de combat, efficace et poignant. TéléCinéObs ….. Au-delà des scènes granguignolesques, « Au nom du fils » laisse filtrer une gravité et un propos plus intéressants que sa forme ne le suggère. La Croix….Le cinéaste belge Vincent Lannoo signe avec son comparse du Québec Philippe Falardeau une charge implacable et décalée contre l’aveuglement de la foi. L’Humanité
L’interprétation : Astrid Whettnall : Philippe Nahon ,Zacharie Chasseriaud …
Vendredi 27 juin à 18 h ; lundi 30 juin et mardi 1er juin à 20h30
En 1854, trois femmes ayant perdu la raison sont confiées à Mary Bee Cuddy, une pionnière forte et indépendante originaire du Nebraska.
Sur sa route vers l’Iowa, où ces femmes pourront trouver refuge, elle croise le chemin de George Briggs, un rustre vagabond qu’elle sauve d’une mort imminente. Ils décident de s'associer afin de faire face, ensemble, à la rudesse et aux dangers qui sévissent dans les vastes étendues de la Frontière américaine.
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